De Jerez la Fronteira j'avais mis le cap sur tarifa, d'ou part un ferry pour le Maroc.
Apres avoir chercher mon chemin un peu j'ai embarque sur la route vers le sud. Le vent s'est immediatement impose. Au debut je me disais qu'il ventait fort, mais je n'en faisait pas plus de cas. Plus je descendais plus le vent s'intensifiait. A un moment le paysage a change et je me trouvais dans des vallees verdoyantes fort jolies, mais le vent montait toujours et devenait de plus en plus derangeant, voir meme epeurant. J'ai conduis une moto sous les vents de la Patagonie, qui sont repute tres fort, mais ceux qui me battait cette journee la me semblait encore plus fort. A quelques reprises des rafales m'ont bouscule a un point tel que mon coeur explosait sous l'adrenaline. J'ai atteint une vallee rempli d'eolienne et j'ai su que j'allais penetre dans le couloir du vent. Sur environ une dizaine de kilometre je me suis battu contre un vent de traitre qui me battait dans tous les sens. Le vent m'a harcele jusqu'a mon arrivee a mon auberge de jeunesse a Tarifa.
Tarifa est une petite ville de bord de mer ou affluent les touristes en quetes de plages ainsi que les adeptes de kite surfing et de planche a voile en raison du vent qui souffle fort a cet endoit. Pour les adeptes de moto c'est un peu moins interessant cependant. En fait il s'est avere que le vent soufflait particulierement fort cette journee la et les ferry vers le Maroc etait tous annule jusqu'a ce que le vent se calme, une affaire de quelques jours m'a t'on dit. Merde, me voila pris a Tarifa.
Pour ajouter a l'injure et l'insulte, le vent a bascule ma moto qui etait stationne sur son trepied. Des resident de mon auberge sont venu me voir pour me dire que ma moto faisait une sieste sur le cote, je n'arrivais pas a croire que le vent puisse faire basculer une moto de 500 livres. Heureusement, a part quelques nouvelles egratignures la moto n'a pas trop souffert de cette chute. J'ai pu mettre ma moto au garage de l'auberge apres cet incident et dormir tranquille en sachant ma moto a l'abris de ce villain vent.
J'ai passe les trois jours suivant a attendre que le vent se calme. J'ai appris a connaitre tous les gens de mon auberge, j'ai bien bu et bien mange, comme une petite vacance dans mes vacances.
Sur cette photo prise au fort vous pouvez voir en arriere les cotes du continent Africain, visible par beau temps.
Tarifa est a 35 km de Tanger. On peut voir le continent Africain de l'autre cote du detroit ou la mer Atlantique devient la mer mediteraneenne.
Un soir erst arrive a mon auberge un jeune britannique au volant d'une moto que j'ai tout de sutie reconnu comme etant une monture digne d'une grande expedition, similaire a ce que j'avais pour mon periple en Amerique du Sud. J'ai fait connaissance avec Alex qui venait lui aussi attraper le ferry vers l'Afrique, lui s'en allant jusqu'au Congo. Ce qui est assez drole c'est qu'il s'est avere que le drole etait a peu pres dans la meme situation que moi lorsque je suis parti en amerique du Sud. Il vient d'avoir son permis de mot, il est un peu derniere minute et un peu perdu. Ca faisait drole de voir quelqu'un dans la meme situation qu'etait la mienne il y a deja trois ans de cela. Nous avons convenu de faire une partie du trajet au Maroc ensemble.
Les ferrys ont repris apres trois jours d'attente. Nous sommes embarque dans le ferry de l'apres-midi et avons amorce la traverse de 35 minutes vers le continent Africain. Meme si le vent etait tres faible cette journee la, la mer etait quand meme un peu agite et le ferry , un genre de gros catamaran, tanguait assez pour que le mal de mer me prennent. Des notre arrivee au port de tanger nosu avons ete pris en charge parce ce que je pensais etre des douaniers, mais qui s'est avere etre des "facilitateurs" plus ou moins officiels qui aident les etrangers en echange d'un pourboire. J'ai vu ce genre de "facilitateur" dans plusieurs frontieres d'Amerique Latine, je me debrouillais generalement sans leur aide. Le processus pour importer temporairement les motos s'est avere facile et nous etions pret a partir a la recherche de notre auberge dans la medina (vieille ville) de Tanger. Des notre sortie de la zone douaniere nosu avons ete assaillie de gens voulant changer notre argent. On leur disait qu'on voulait jsute retirer de l'argent mais ils nous disait que les guichets ne marchait pas. Je savais a quoi m'en tenir, que le Maroc etait rempli de personnage plus ou moins honnete qui travaillait fort pour soutirer un peu d'argent des riches touriste qui debarquent chez eux. On a trouve un guichet qui marchait, on a retire nos sous. J'ai trouve un guichet pour acheter des assurances pour la moto, mes assurances pour l'Europe ne me couvrant pas au Maroc. Les prix offert etait trop cher a mon gout alors j'ai decide de ne pas acheter et de trouver un meilleur prix en ville le lendemain.
Nous sommes sorti du port par une route qui longeait la mer. Des minarets s'est alors fait entendre l'appel de la priere, le soleil se couchait et le ciel etait magnifique, de feu et de pourpre. Du coin de l'oeil j'ai appercu un employe de voirie enlever ses souliers et etendre son tapis pour faire la priere. L'excitation etait a son comble, j'etais en Afrique, au Maroc, un autre monde.
Notre belle route qui longeait l'ocean s'est avere etre la mauvaise route et nous avons du rebrousser chemin pour trouver l'entree de la medina. Alex et moi n'avions pas charge de map du maroc dans nos GPS nous etions donc un peu perdu avec les directions approximatives qu'on nous avait donne. Disons qu'avec nos tetes de gars perdus les arrangueurs de touristes se sont jetes sur nous. Dans le groupe un jeune gracon s'est propose pour nous guider vers notre hotel. Il s'est mis a courir devant nos motos et nosu a guide jusqu'a la porte de ntore auberge. J'etait fort content de donner 50 dirhams (5 euros) a ce brave petit Marocain. Le probleme c'est que, sorti de je ne sais ou, une armada d'harragueurs professionel nous entouraient desormais. On nous offrait de nous amener a tel ou tel restaurant, de nous trouver du stationnement. Pour le stationnement j'etais definitivement preneur, la medina de Tanger avec ces petites rues, ou plutot passages etroits, prend un air assez glauque dans la nuit, bref un endroit peu recommendable pour laisser dormir la moto. Un des harrangueurs nous amenent a l'hotel continental, pproche de ntore auberge pour qu'on puisse y mettre nos motos. Il me presente le gardien du stationnement et je commence les negociations avec lui. Le monsieur sait qu'on a pas vraiment le choix et il est intrensigeant sur son prix, j'accepte, 50 dirham (5 euros) pas moto, c'est un bon prix au standard Europeen, mais un peu cher pour le Maroc. Comme j'ai dit, on a pas vraiemnt le choix et on accepte.
De retour a notre hotel, le mec qui nous a aide a trouver le stationnement dit qu'il va nosu attendre pour nous amener au restaurant de son oncle. je lui dit que je ne sais pas ou nous allons mange et de ne pas nous attendre. Bien sur a notre sortie il nous attend, et a coup de "mon ami", "mon ami" il nous harcele pour qu'on aille a son restaurant. Nous etions a ce moment un petit groupe compose de Alex et moi ainsi que trois autres personnes de notre auberge. Nous faisons notre chemin dans la medina pour trouver un restaurant alors que l'autre emmerdeur professionnel ne nous lache pas avec son putain de restaurant meme si je lui ai dit a plusieurs reprise qu'on allait ailleurs. De toute facon rendu a ce point la personne ne veut aller a son restaurant parce que tout le monde le trouve vraiment emmerdant. Je vois bien que personne ne sait comment gerer cette sangsue alors je lui dit simplement: "tu perds ton temps, on ira pas a ton restaurant, c'est fini.". Il a compris, il a un air debite, un peu fache. Moi je suis degoute par ce rapport humain, ca commence mal, tres mal. Ausssitot debarrasse de lui d'autre afflue. Si tu leur adresses un mot, ils se collent a toi et la tu dois user de toute ta diplomatie pour t'en debarrasser sans les vexer. Quel plaie! De tous les pays que j'ai fait, je n'ai jamais eu une experience aussi desagreable au niveau du rapport humain. Nous avons marcher un bon moment avant de trouver un endroit pour prendre une bouche, nous sommes retourne a notre auberge et je me suis couche un peu vexe par mon experience.
Le lendemain nous sommes parti tot a la recherche d'assurance dans le centre-ville de Tanger. Toujours sans GPS on a erre un peu avant de trouver un bureau d'assurance. Je prend les informations, le prix est le meme qu'au port, trop cher et en plus il faut attendre que le courtier termine avec son client. Alex me demande si on a vraiment besoin d'assurance, "fuck it" que je lui repond, j'en ai jamais eu en Amerique du Sud sur des dizaines de milliers de kilometres, allons-y, sans assurances. C'est parti!
Avant de partir on a pris queqlues photos avec ce petit garcon vraiment trop drole. Il etait plein d'assurance et tenait absolument a baisser nos visieres avant qu'on parte.
Apres avoir tournoyer en ville un peu (on a toujours pas de GPS), nous avosn trouve l'autoroute qui mene evrs Rabat, surnomme l'autoroute du roi, le roi habitant a Rabat. L'autoroute fut comme toute les autoroute, un peu ennuyante mais efficace pour avaler les distances. Nous avons donc assez rapidement parcouru le chemin que nous avions convenu de faire ensemble, Alex continuant jusqu'a Rabat et moi mettant le cap sur Fez. Avant de nous quitter ous somems arerte pour un veritable festin. Quelques dizaines de kilometres plus loin nos routes se separaient et apres des au revoir a 120 km/h j'ai pris ma bretelle de sortie vers Fez.
Une photo d'Alex avant la separation de nos chemins. Buen suerte amigo!
La route vers Fez etait une petite route nationale, en fait une suite de petites routes nationales. Je n'avais aucune idee du chemin et sans GPS. Il commencait a se faire tard, environ 15h30 et je ne savais meme pas combien de kilometres il me restait a faire. une pancarte m'informa que 200 kilometres me separaient de Fez. Ok pas de probleme, si la route est belle je peux m'y rendre sinon je m'arrete dans un bled et trouve un lit.
La route fut totu d'abord un peu lente et pas particulierement interessante. A environ une centaine de kilometres de ma destination le paysage a change et la route et devenu sublime. La chausse etait belle et parcourait des vallees verdoyantes parseme de moutons ou de berger faisant leur priere sur leur tapis oriente vers la Meque. Bref, un fort jolie trajet m'a mena jusqu'a Fez. Des mon arrivee a Fez un petit scooter m'a signale de m'arreter. Comme je m'y attendait il s'agit d'un mec qui veut m'amener a son hotel, qui n'est pas son hotel, mentir est une seconde nature et tout a fait normale pour ce type de gens. J'accepte de le suivre, apres queqlues questions sur l'hotel en question, je n'ai pas de GPS et j'ai pas envie de tourner en rond pour me chercher un hotel. Il me mene tout droit a l'hotel et c'est parfait, je suis fort content et remercie le mec. Il veut me reserver une visite guide avec son pere le lendemain, mais je ne lui dit que je quitte le lendemain. Il insiste et je lui dit qu'il perd son temps, il est un peu decu, mais comprend.
Des mon arrivee a mon hotel un Americain qui y loge m'aborde, il est lui aussi un motard mais voyage presentement au Maroc sans moto. Il connait un peu la medina de Fez et je lui propose qu'on y aille ensemble. La medina de Fez est absolument incroyable. Il s'agit d'un labyrinthe de rue marchande couvert de trellis afin de preserver la fraicheur durant la saison chaude. Se promener dans la medina de Fez est une experience incomparable, unique. La faune et le decor nous transporte dans un autre monde. Nous avons tourne en rond, nous nous sommes solidement perdu. En plus de tous les vendeurs qui quemendaient notre attention et qu'on ignorait, un adolescent nous a harceler pour nous amener visite telle ou telle endroit. Il s'est sauve quand il a vu la police, mais est revenu apres. Je m'en suis debarrasse gentiment. En demandant notre chemin a divers tenanciers d'etals, nous avons retrouve notre chemin et avons pris une bouchee dans le deuxieme etage d'un petit etal pour un repas un peu quelconque mais vraiment pas cher.
Malheureusement j'etais tellement bouche bee dans la medina de Fez que j'ai oublie e prendre des photos, mais j'ai pris celle-ci de l'entree de la ville fortifie avant de partir.
Le lendemain je me suis embarque vers Chefchaouen, a environ 200 kilometres de routes montagneuses. La rotue fut encore une fois superbe et j'ai atteint sans probleme ma destination. Non sans m'arreter a mi-chemin pour manger la meilleure Tagine de ma vie. Je m'etais arreter un peu au milieu de nulle part, tout le monde etait super sympathique, comme quoi, comme je m'en doutais, c'est ou les touristes vont que se trouvent les emmerdeurs.
Voici une photo prise en chemin vers Chefchaouen. Le paysage etait d'une grande beaute sur tout le trajet.
Parlant d'emmerdeurs j'en ai bien sur trouve tout un paquet a Chefchaouen. Comme d'habitude je m'en debarrasse facilement, sont pas mechant, juste gossant et ca c'est suffisant pour me gacher le pays. Je suis bien content d'etre a Chefchaouen et de pouvoir foncer le lendemain vers Tanger et reprendre un ferry hors de cet enfer. J'ai trouve un hotel par moi-meme assez facilement cette fois-ci. J'ai negocie le prix de la chambre de 350 dirhams a 230 dirhams. Une difference qui me fait penser que le premier prix est un peu du vol.
Je me suis promene a Cherfchaouen, c'est super beau. A peu pres tous les groupes de jeunes que je croise m'offre du hashish.
La petite ville est situe a flanc de montagne et sa vieille ville, medina, est toute peinte de bleue, d'ou son surnom de la ville bleue.
J'ai demande mon chemin vers une mosque a deux marocains. Le mec qui m'a repondu habite a Ouazarzate ou il a un hotel. Il ne peut s'empecher de me dire d'aller visite son hotel, a 900 kilometres d'ici.
J'ai bien mange ce soir la. J'ai bien dormi. J'ai bien dejeune.
Depart pour Tanger, la route est encore belle et vers la fin j'attrape une autoroute qui me mene en un rien de temps sur Tanger. A une station service le pompiste me propose de lui acheter du hashish; "non juste de l'essence SVP".
A Tanger je vois mon premier accident du voyage, un petit accrochage, mais tout de meme un petit rappel qu'un accident est si vite arrive et d'etre prudent, surtout sans assurance.
Je suis arrive un peu a l'avance alors j'ai ete mange a l'hotel ou j'avais laisse ma moto a mon arrive a Tanger. A cet hotel ont reside George Lucas et Rene levesque, selon ce que me dit un vieux monsieur apres que je lui apprend que je suis Quebecois. J'ai mange un autres tres bon repas Marocain, un poulet au citron et olives, comme le fait mon amie Annie, qui est a moitie Marocaine.
Je me suis embarque sur mon ferry et regagner l'Europe en un rien de temps quand on considere le monde de difference qu'il y a entre les deux endroits. C'est incroyable que seule une petite bande de mer de 35 kilometres separent ces deux univers completement differents.
Apres une dernier nuit a Tarifa, je me suis embarque vers Ronda. En chemin je me suis arrete a Gibraltar. Il a fallu que je passe les douanes, Gibraltar etant un territoire anglais. Girbaltar est un recif geant dans lequel les anglais ont construit des tunnels et des fortifications durant la deuxieme guerre mondial. Le territoire est encore anglais aujourd'hui meme si l'Espagne est pas trop d'accord avec ca. Apparement les deux pays sont en pourparler sur le sujet mais je soupconne les Anglais de tirer avantage du "manana, manana" Espagnole, en d'autre terme, du laisser-aller ou du remettre au lendemain typique de la region Andalousienne.
J'ai grimpe le recif avac ma moto jusqu'au sommet pour quelques belles photos, avec des singes bien-sur.
Apres cette petite interlude j'ai repris le chemin vers les montagnes pour rejoindre Ronda. La route vers ronda est un des must pour les motards visitant la region Andalousienne. La route est sinueuse, rapide et les paysages superbes.
Ronda est definitivement une des plus belles petites villes de l'Andalousie. Son pont qui enjambe une profonde gorge est un des plus beaux qu'il m'ait ete donen de voir, ses recifs son aussi tres spectaculaires.
En marchand vers le fond de la gorge j'ai croise deux francaises que j'avais vu a Ronda. Lors de mon repas de la veille on attendait une table et c'est la leur qu'on a pris. Je les ai reconnu, on a parle un peu et passe le reste de l'apres-midi ensemble, bref deux francaises fort sympatiques. Elle rapartait le soir meme vers une autre ville, mais nous nous sommes promis de se revoir a Granada.
La route vers Granada le lendemain fut sans histoire et je suis vite arrive dans cet autre joyaux du sud de l'Espagne. Comme a Seville, l'auberge que j'avais programme dans mon GPS etait pleine. J'etais un peu decu et m'appretait a quitter lorsque la receptionniste m'informa qu'une anullation venait de rentrer. Ouais! deux en deux, ma bonne etoile brille encore.
Pour les trois jours suivants j'ai encore une fois fait mon bon touriste. J'ai bien bu, bien manger, souvent en compagnie de mes deux nouvelles amies francaises. Voici quelques photos de mes visites.
Ces messieurs se pratiquent pour le semaine sainte.
Voici des photos de l'Alhambra, un site comportant quelques chateaux au sommet d'une colline, encore une fois construit par les Moors. Le site touristique le plus visite d'Europe, apparement.
Beaucoup de monde.
Je suis maintenant a Peniscola. Je suis en chemin vers Barcelone, je me fait un petit marathon de 900 kilometres en 3 jours.
Avant de m'embarquer dans mon marathon je suis alle au sommet de la Sierra Nevada ou monte la plus haute route d'europe. Il y a une statio nde ski au sommet et il faisait froid, tres froi. J'ai gele comme un bon.
Mon premier arret, Murcia, pour aucune raison a part que c'etait en chemin. J'ai pris un hotel nulle et chere dans le centre de la ville. La ville est bien sur belle en son centre, comme partout en Espagne.
Peniscola ou je me trouve presentement est vraiment jolie, mais un peu morte en ce moment, etant une station balneaire donc en basse saison durant l'hiver. Le ville qui longe l'eau est typique du bord de mer Espagnole, surconstruit avec du beton, mais le fort qui trone au sommet de sa vieille ville fortifie est vraiment superbe.
Demain j'atteint finalement Barcelone, une ville qui fait partie de peloton de tete de ma liste de ville a visiter, j'ai hate.
J'étais si heureuse de découvrir cette dernière entrée de ton blogue...je l'ai parcourue un peu rapidement mais y reviendrai et t'en reparlerai.
RépondreSupprimerBon vent ( mais pas trop) comme on dit! Je t'aimexmommy
Cool Gui!! Ça doit être fantastique le Maroc, je rêve de m'y rendre un jour! Continue d'être prudent et envoie nous un peu de soleil parce qu'ici, l'hiver s'accroche et nous déprime solide! XX
RépondreSupprimerPS: Je suis certaine que Pascal te dirait que Barcelone est une ville merveilleuse! XX Have fun!